LES ENNEMIS DE LA BRETAGNE (et amis de la Grande Europe) HONORENT LE SOUVENIR DE LA COLLABORATION

Fasciste breton notoire, véritable partisan d'une collaboration "britto-allemande" (car... "Cela va sans dire puisque notre religion nous ordonne d'aimer même nos ennemis"...) ayant pour vocation d'intégrer la Bretagne, contre la France et l'idéal républicain déjà largement souillé par Vichy, dans le nouvel ordre européen du Reich millénaire écrasé par l'armée rouge en 1945, l'abbé Perrot refait parler de lui, 80 ans après avoir été exécuté par des résistants communistes du maquis de Saint-Goazec, quant à la tenue ce samedi 9 décembre dans une chapelle de Quimper d'une conférence à son sujet organisée conjointement par Feiz ha Breizh (Foi et Bretagne), Ar Gedour... et le diocèse de Quimper et Leon.

La Libre Pensée en Bretagne, ainsi que l'ARAC (Association Républicaine des Anciens Combattants), alertent les autorités sur la résurgence de groupuscules nationalistes et identitaires "bretons", sur fond de révisionnisme historique et de militantisme culturel et cultuel grandissant et dénoncent la tenue de cette conférence qui sera un véritable rassemblement de militants fascistes anti-républicains, anti-français et nostalgiques de la terreur que les Bagadou Stourm et autres Bezenn Perrot (du nom de l'abbé collabo en question), milices au service du Reich allemand, entretenaient dans les campagnes bretonnes.

Les sections bretonnes du PRCF, avec l'appui de leur direction nationale, ont dénoncé elles aussi la tenue de ce rassemblement, appuyés l'appel au maire de Scrignac et aux autorités de la République à l'interdire sans délai, mais rappellent également que le délitement de la nation française, souhaité tout autant par ces néo-nazis "bretons", par l'UDB (Union Démocratique Bretonne) et sa figure de proue indépendantiste et carhaisienne Christian Troadec, que par l'Union européenne, le MEDEF et Macron (qui tous soutiennent le "saut fédéral européen" en cours, véritable enjeu des élections européennes à venir et qui substituera définitivement un "Etat européen" capitaliste et supranationale à l'indépendance nationale de la France et au développement de la Bretagne) ne peut avoir d'autres résultat que d'alimenter la pire des réactions et la résurgence des pires ennemis de l'idéal républicain et de la nation française issue des idées de 1789-1793.

Qui veut réellement combattre le fascisme et la réaction, en Bretagne comme dans le reste de la France et du monde, ne doit plus craindre une minute de dénoncer d'un seul bloc Macron, le MEDEF, l'Union européenne et l'OTAN (bras armé de l'euro-atlantisme et soutien militaire des bataillons néo-nazis ukrainiens qui martyrisent depuis 10 ans le Donbass ouvrier et russophone).

Il en va de la Bretagne et de la France.


En savoir plus : https://francoisemorvan.com/la-regression-ethniste-bat-son-plein-en-bretagne/