LA FRANCE EST DEVENU LE PAILLASSON DE L'UNION EUROPEENNE

Protégé temporairement par une armée de policiers, Macron parade sur le parvis de Notre-Dame ou devant l’autel restauré, mais la réalité est bien plus sombre : la France, à l’échelle nationale et internationale, s’effondre et devient la risée mondiale.

En Bretagne comme dans toute la France, licenciements, délocalisations, privatisations dictées par Bruxelles, baisse du pouvoir d’achat, dégradation des services publics (école, hôpital), et effondrement de l’agriculture et de l’industrie conduisent 80 % des Français à considérer le pays en « déclin définitif » (sondage Cévipof).

À l’international, l’arrogance des dirigeants "français" -- Jean-Yves le Drian et autres Bollorés bien "bretons" compris --, lâches vassaux de l'UE-OTAN, et leurs interventions néocoloniales ont isolé la France en Afrique, où elle est chassée du Burkina Faso, Mali, Niger, Tchad et Sénégal. Aux Antilles, la situation néocoloniale perpétue la vie chère et alimente des insurrections régulières en Martinique et en Guadeloupe.

En Europe, la France, deuxième contributeur net à l’UE (27 milliards d’euros annuels), est traitée en subalterne. Sous Macron, l’anglais est devenu langue officielle des institutions européennes, reléguant le français à un rôle mineur, même à Villers-Cotterêts, symbole historique de la langue française.

L’UE impose son accord avec le Mercosur

La France a aussi perdu du poids politique, illustré par la mise à l’écart de Thierry Breton à la Commission européenne. De plus, malgré les promesses, le traité UE-Mercosur avance avec l’accord tacite de l’UE.

En bref, l’oligarchie politico-médiatique en place continue de brader l’indépendance nationale, appuyée par le R"N", rallié à l’UE et à l’OTAN.

Deux choix s’imposent donc : accepter ce déclin, ou retrouver l’élan révolutionnaire qui fit la grandeur de la France -- et notamment en Bretagne qui marqua largement l'histoire de la Révolution française, par sa Fédération "Bretonne Angevine", ou encore par la participation de ses fédérés à la prise des Tuileries et à la chute de la monarchie --, en optant pour un FREXIT progressiste et une refonte populaire du pays.

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